La pensée du prof bourgeois socialiste : "La nation, c'est fini. Concept d'un autre âge, qui d'ailleurs, à l'échelle de l'humanité, n'a pas duré longtemps ! Il faut voyager et aller dans le monde à la rencontre des autres ! Et non s'enfermer dans ces barrières inventées par les hommes par un lâche besoin de sécurité ! J'espère que ce lecteur n'est pas, comme moi, professeur d'histoire !".
Ce que ce pseudo prof, véritable enculé libéral, feint de ne pas comprendre, c'est que l'ouverture des frontières est une posture capitaliste qui met les travailleurs en concurrence avec la main d'oeuvre bon marché des pays pauvres. Du coup, nos ouvriers n'ont pas les moyens de voyager à la découverte du monde en compagnie de notre cher prof "socialiste" amoureux des pays du tiers-monde qu'il contribue, par sa connerie, à appauvrir de ses forces vives !
Je n'aurai pas dit mieux !
RépondreSupprimerAlexandre
Le summum de l'hypocrisie ou de la connerie, c'est selon, dans cette affaire, c'est que les professeurs bénéficient encore de statuts et d'une protection qui résulte de la préférence nationale appliquée dans le secteur public !
RépondreSupprimerIl ne faudra pas qu'il vienne couiner le jour où on privatisera l'école, où les concours nationaux seront remplacés par un entretien d'embauche bidon par un "mamanger" de mon cul. Avec le bouffon inculte de Châtel, ce DRH à la con avec son DESS de marketing (diplôme de crétin formaté), c'est en marche.
surtout que le zozo de prof a ses voyages payés par le travail et les impôts de l'ouvrier (ou cadre du privé) mis en concurrence avec ses étrangers adorés.
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