23.12.09

Le dieu du stade


Ils ont beau se foutre à poil, s’épiler et se couvrir d’huile chaque année dans leur calendrier hors de prix. Les « dieux du stade » ne sont rien face à la star du rugby français : Sébastien Chabal.

Tel un Dieu, il arbore sa barbe et sa stature de géant, parle peu, mais écrase ses adversaires.

L’humble Chabal, loin des paillettes, n’a pourtant rien d’un grand joueur de rugby, mais tout d’un grand homme.

Les nanas ne se sont pas trompées, c’est lui leur préféré !

Pourtant, Sébastien ne fait pas de calendrier à la con et ne cède pas à la mode du poker pour faire des émissions people.

En cette période « tafiolesque », ou les hommes doivent prendre exemple sur des rugbymen dévirilisés, les femmes, elles, retournent vers leurs fondamentaux.

Finalement, la « starification » de Chabal, infondée sur le plan sportif, est positive.

C’est le retour à des valeurs saines. L’amour de la force, du combat, bref, de la virilité, symbole ultime de représentation de l’homme.

Si l’homme « moderne » veut plaire aux femmes, nul besoin d’artifice. Il suffit d’assumer son statut de mâle ! Comme Chabal !

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